Nous voilà à la mi août.
Désolée de ne pas avoir donné de nouvelle durant si longtemps, mais des problèmes d'ordi ne nous permettaient plus d'accéder au site. Tout est rentré dans l'odre à présent.
Début juillet, nous avons eu l'immense plaisir de rencontrer Véronique. Véronique et son mari, travaillent au Niger. C'est eux qui se sont dépatouillés pour nous acceuillir et nous trouver un logement. A l'époque, nous ne les connaissions pas. Une longue correspondance a précédé notre rencontre. Ils se sont mobilisés et en ont mobilisé plus d'un , pour que notre séjour puisse se réaliser.
Avant de revenir en Belgique pour quelques jours, Véronique est passée par Karey Gorou. Elle a rencontré le directeur de la "petite école de paille" et pris avec son accord, des photos de l'école, du village et de ses habitants.
Des classes en paille, il ne reste absolument rien pour le moment, car la saison des pluies a tout balayé sur son passage. Il faudra attendre deux à trois mois pour les reconstruire. Il reste juste par endroit, un petit tas de paille. Pour le reste, les bois un peu plus solides ont été mis de côté dans l'espoir de pouvoir servir de tuteur pour la construction des prochaines classes de l'an prochain.
Véronique nous dit qu'il fait chaud, chaud, chaud (50°) pour l'instant au Niger.
Désolée de ne pas avoir donné de nouvelle durant si longtemps, mais des problèmes d'ordi ne nous permettaient plus d'accéder au site. Tout est rentré dans l'odre à présent.
Début juillet, nous avons eu l'immense plaisir de rencontrer Véronique. Véronique et son mari, travaillent au Niger. C'est eux qui se sont dépatouillés pour nous acceuillir et nous trouver un logement. A l'époque, nous ne les connaissions pas. Une longue correspondance a précédé notre rencontre. Ils se sont mobilisés et en ont mobilisé plus d'un , pour que notre séjour puisse se réaliser.
Avant de revenir en Belgique pour quelques jours, Véronique est passée par Karey Gorou. Elle a rencontré le directeur de la "petite école de paille" et pris avec son accord, des photos de l'école, du village et de ses habitants.
Des classes en paille, il ne reste absolument rien pour le moment, car la saison des pluies a tout balayé sur son passage. Il faudra attendre deux à trois mois pour les reconstruire. Il reste juste par endroit, un petit tas de paille. Pour le reste, les bois un peu plus solides ont été mis de côté dans l'espoir de pouvoir servir de tuteur pour la construction des prochaines classes de l'an prochain.
Véronique nous dit qu'il fait chaud, chaud, chaud (50°) pour l'instant au Niger.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire